Le 7 Janvier 2011, le tribunal de grande instance de Besançon avait pourtant délibéré en faveur de la poursuite d’activité de l’Association Interférences organisatrice du festival.
Selon Martial Greuillet qui a porté à bout de bras ce projet avec une équipe de 200 bénévoles, la météo mais aussi la hausse des cachets des artistes suite à l’effondrement du marché du disque, l’augmentation de la fréquentation nécessaire mais difficile à maîtriser pour une équipe bénévole, la complexité des normes pour l’accueil du public… sont à l’origine des difficultés qui ont marqué la fin d’une belle aventure. Un Festival qui a su faire rayonner l’image de la capitale comtoise avec ses 20 000 étudiants.