Article sur la chaîne www.chvnoticias.cl =
Traduction brute via translate.google :
« Nicolás Zepeda a pleuré et a insisté sur le fait que « je n’ai pas tué » Narumi : Les réponses qui ont marqué sa dernière déclaration.
A plusieurs reprises, l’accusé de la disparition de la jeune Japonaise, a clamé son innocence devant le tribunal. Cependant, il a également joué dans certaines réponses qui ont surpris les intervenants, notamment lorsqu’ils l’ont interrogé sur son achat d’allumettes et de carburant liquide. »

« Je ne l’ai pas tuée, je veux aussi savoir. » Ces mots ont été le point culminant de l’audience de ce jeudi en France, lorsque Nicolás Zepeda a éclaté en sanglots et a nié à plusieurs reprises, voire en hurlant, n’avoir pas tué la jeune Japonaise. Ce jour-là était la dernière fois que l’accusé prendrait la parole devant le tribunal, à moins que dans les prochains jours il ne décide de dire autre chose, mais tout indique qu’il ne le fera pas. Certaines des phrases faisaient, par exemple, allusion à l’achat d’allumettes et de carburant liquide, il a souligné que « si je ne faisais pas l’objet d’une enquête, personne ne trouverait que c’était un achat étrange » (Traduction automatique via translate.google).
https://www.chvnoticias.cl/reportajes/zepeda-lloro-insistio-inocencia-narumi_20220407/

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VIDEO : www.chvnoticias.cl/sucesos/acusacion-fiscalia-caso-narumi-kurosaki-celular-pieza-clave-contra-chileno

Traduction brute via translate.google :

« Accusation du parquet dans l’affaire Narumi : le téléphone portable est un élément clé contre le Chilien Nicolás Zepeda

Après le contexte abordé dans le procès, le fait le plus « étrange » est que le 4 décembre 2016 est la dernière preuve concrète de Narumi vivant. Cependant, les jours ont passé et le téléphone de l’étudiant japonais a émis son dernier signal le 13 décembre à Santiago du Chili, le jour même où Nicolás a atterri sur le sol national ».

« Tôt le matin du 6 décembre 2016 et Nicolás Zepeda quitte la résidence de Narumi Kurosaki pour Dijon. Rendre la voiture puis s’envoler pour l’Espagne était son objectif, mais un détail a éveillé les soupçons : le téléphone portable de la jeune Japonaise a suivi le même trajet. « Besanzón, Dijon, Barcelone et la plus écrasante… Santiago du Chili, pour disparaître une fois dans ladite ville », a déclaré l’avocat du demandeur. Il est pertinent de noter que Nicolás, avant de retourner sur le territoire national, s’est rendu au même centre commercial où, quelques jours auparavant, il avait acheté cinq litres de carburant liquide. Là, il se connecta au réseau Wi-Fi du lieu, le même que celui utilisé par le téléphone portable de Narumi pour effectuer un achat particulier.
« L’enquête a montré que Narumi n’a jamais accompagné Nicolás, il n’est pas allé en Espagne ou au Chili, et mieux encore, il a été démontré que l’achat que Narumi aurait fait du fameux billet de train Besanzón-Lyon, a été fait à partir du même shopping centre de Dijon où se trouvait Nicolás », complète le juriste. Mentionnons également que les traces du téléphone portable de l’étudiant accompagnent Nicolás dans son périple, où le Chilien a rejoint son cousin alors que la femme était déjà portée disparue. La défense de Zepeda remet en question l’hypothèse selon laquelle c’est le même Chilien qui a fait disparaître son ancien partenaire. Après le contexte, malgré les preuves, le fait le plus choquant est que le 4 décembre 2016 est la dernière trace concrète de Narumi vivant. Cependant, les jours ont passé et le téléphone portable de l’étudiant a émis son dernier signal le 13 décembre à Santiago du Chili, le jour même où Nicolás a atterri sur le sol national. » (Traduction automatique via translate.google).