Elle sera l’une des 70 artisans qui cette année encore feront découvrir leur savoir-faire pour la 15e édition d’Artisans au Grand-Cours du 15 au 17 août à Pontarlier… Couture et dépendances… Chez les couturières comme chez les cuisiniers, l’activité peut être utilitaire et fonctionnelle ou créative et festive. Les ourlets et reprises sont aux premières ce qu’est la restauration pour les seconds. À l’autre extrémité, certains développent des pratiques où l’artisanal et l’artistique se mêlent pour offrir un supplément d’âme, une part de rêve. C’est dans le compartiment couture de cette cour que joue Audrey qui, depuis maintenant deux ans, compose ses symphonies non pas culinaires mais couturières du côté de Chaffois. Des couleurs pour jouer du chaud et du froid comme du sucre et du sel. Des matières – du taffetas à la soie en passant par l’organza, la mousseline, la dentelle- pour varier les reflets et inviter à passer de la caresse du regard à celle du geste… La robe de mariée : à la fois autre chose et plus que ce qu’elle était. Des lignes épurées et douces pour mariée discrète ou au contraire exubérantes et provocantes pour jeunes femmes davantage affirmées… Parfois un mélange des deux dans des robes évolutives ou robes 2 en 1, sa spécialité, permettant une tenue pour la cérémonie et une autre pour la soirée. Car le temps des robes forcément blanches, forcément longues, forcément… est révolu. Aujourd’hui chacune veut une robe qui n’appartienne qu’à elle pour un mariage qui n’appartienne qu’à eux. Un trait d’union entre le « moi » et le « nous » qu’Audrey a récemment eu l’idée d’incarner en proposant des cravates-maison assorties à la robe : un tabac ! Créativité et savoir-faire, CAP de couture, bac « rtisanat et Métiers d’Art » option Vêtements et Accessoires de Mode, puis deux ans chez le grand couturier, Max Chaoul, techniquement elle était déjà affûtée lorsqu’elle elle s’installe dans le Haut-Doubs en 2005. Las le sapin s’avère plus commun que les emplois de couturier… L’occasion de réaliser un rêve : créer ses robes, ses bijoux, ceux qui dans les contes la faisaient déjà rêver enfant… C’est à Artisans au Grand-Cours à Pontarlier en août 2005 qu’elle présente pour la première fois ses créations dont un bustier en cire d’abeille : beaux retours et succès d’estime l’invitent à se lancer. Depuis ses meilleurs arguments sont ses créations que l’on remarque et qui font sensation. Alors pourquoi pas ne pas venir les découvrir cet été à Pontarlier…
Elle sera l’une des 70 artisans qui cette année encore feront découvrir leur savoir-faire pour la 15e édition d’Artisans au Grand-Cours du 15 au 17 août à Pontarlier… Couture et dépendances… Chez les couturières comme chez les cuisiniers, l’activité peut être utilitaire et fonctionnelle ou créative et festive. Les ourlets et reprises sont aux premières ce qu’est la restauration pour les seconds. À l’autre extrémité, certains développent des pratiques où l’artisanal et l’artistique se mêlent pour offrir un supplément d’âme, une part de rêve. C’est dans le compartiment couture de cette cour que joue Audrey qui, depuis maintenant deux ans, compose ses symphonies non pas culinaires mais couturières du côté de Chaffois. Des couleurs pour jouer du chaud et du froid comme du sucre et du sel. Des matières – du taffetas à la soie en passant par l’organza, la mousseline, la dentelle- pour varier les reflets et inviter à passer de la caresse du regard à celle du geste… La robe de mariée : à la fois autre chose et plus que ce qu’elle était. Des lignes épurées et douces pour mariée discrète ou au contraire exubérantes et provocantes pour jeunes femmes davantage affirmées… Parfois un mélange des deux dans des robes évolutives ou robes 2 en 1, sa spécialité, permettant une tenue pour la cérémonie et une autre pour la soirée. Car le temps des robes forcément blanches, forcément longues, forcément… est révolu. Aujourd’hui chacune veut une robe qui n’appartienne qu’à elle pour un mariage qui n’appartienne qu’à eux. Un trait d’union entre le « moi » et le « nous » qu’Audrey a récemment eu l’idée d’incarner en proposant des cravates-maison assorties à la robe : un tabac ! Créativité et savoir-faire, CAP de couture, bac « rtisanat et Métiers d’Art » option Vêtements et Accessoires de Mode, puis deux ans chez le grand couturier, Max Chaoul, techniquement elle était déjà affûtée lorsqu’elle elle s’installe dans le Haut-Doubs en 2005. Las le sapin s’avère plus commun que les emplois de couturier… L’occasion de réaliser un rêve : créer ses robes, ses bijoux, ceux qui dans les contes la faisaient déjà rêver enfant… C’est à Artisans au Grand-Cours à Pontarlier en août 2005 qu’elle présente pour la première fois ses créations dont un bustier en cire d’abeille : beaux retours et succès d’estime l’invitent à se lancer. Depuis ses meilleurs arguments sont ses créations que l’on remarque et qui font sensation. Alors pourquoi pas ne pas venir les découvrir cet été à Pontarlier…


