Rendez-vous majeur de l’activité commerciale du bassin Pontissalien, la Haute Foire revient pour une formule à quatre jours.

De gauche à droite :
Denis Gérôme président de la fédération Commerce Grand Pontarlier, Patrick Genre, maire de Pontarlier et Président de la Communauté de Communes du Grand Pontarlier, Bertrand Guinchard adjoint à l’économie à la ville de Pontarlier, Didier SIKKINK directeur général délégué de la SEM Micropolis-Besançon.

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Patrick Genre, maire de Pontarlier :

Avec Micropolis, on souhaite donner un côté et un aspect festif, convivial, familial, qui soit attractif pour cette Haute Foire. C’est vrai qu’on est dans un moment, dans une période, dans une ambiance stressante, angoissante pour certains, très morose, où les perspectives sont loin d’être très claires et très dégagées.
Je pense que c’est important pour une ville, et c’est ce qu’on a fait à Pontarlier.
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Patrick Genre, maire de Pontarlier et Président de la Communauté de Communes du Grand Pontarlier

Didier SIKKINK, directeur général délégué de la SEM Micropolis :

La priorité est d’abord donnée aux exposants locaux en élargissant le cercle de plus en plus, il n’y a que 15% d’exposants qui sont hors ancienne région Franche-Comté, 52% viennent de Pontarlier et agglomération et 75% viennent du Doubs.
Donc le premier choix c’est de créer une offre qui soit cohérente, qui soit attractive avec plusieurs produits différents dans les différents univers traditionnels d’une foire et avant tout de permettre aux locaux de s’exprimer et de pouvoir profiter de la présence de nos 21 000 ou plus visiteurs que nous attendons.
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Didier SIKKINK directeur général délégué de la SEM Micropolis-Besançon

C’est un chapiteau colossal, quand on le voit sur le parking relais, juste derrière la salle Pourny. Pour vous donner une idée de budget, c’est un chapiteau qui nous coûte pour l’installation, l’exploitation et la désinstallation pas loin de 135 000 euros, donc vous voyez que ça fait partie des choses et des équations que nous avons à gérer pour que cette foire soit une réussite, mais aussi pour Micropolis, soit un élément économique qui justifie bien sa présence.
Mais c’est un très très grand chapiteau, le plus grand de France j’oserais pas le dire, mais c’est un très très grand chapiteau !
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Didier SIKKINK directeur général délégué de la SEM Micropolis-Besançon